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Nous pourrions avancer qu’il fait grossir, bouche les artères, est indigeste… Pourtant, toutes les graisses ne sont pas égales, il y a les bonnes, les mauvaises, le point avec votre pharmacie.

Les graisses ne ­seraient pas l’ennemi numéro un des ventres plats et des silhouettes gracieuses.

Elles ont toutes été mises dans le même panier alors qu’elles sont loin d’être semblables. Il est même impossible de perdre du poids sans elles!
Éliminer toutes les graisses de son alimentation, c’est aussi se priver des bonnes, dont on sait qu’elles préviennent le surpoids abdominal. De plus, ­combiner (bon) gras et (bon) sucre stabilise la glycémie, un bon garant coupe-faim.

Sans elles, pas de cellules, ni de neurones, ni d’hormones, ni de vitamines.
Vous devez en consommer mais pas n’importe lesquelles! Toutes sont constituées d’un “mélange” de différents acides gras: saturés, mono-insaturés, polyinsaturés, trans…

On les classe parmi les “bons” ou les “mauvais” en fonction de celui qui prédomine. Et combien en faut-il ?
Les lipides doivent ­représenter 35 à 40% de nos apports caloriques globaux, à raison d’environ 10% de graisses saturées, 15 à 20% d’oméga-9, 4% d’oméga-6 et 1,5% d’oméga-3.
Concrètement, 1 à 2 c. à soupe de corps gras par repas, soit l’équivalent de 6 c. à soupe d’huile par jour. N’oubliez pas les graisses ­cachées.

Pourrions nous dire qu’i y a des bons et des mauvais gras ?

Les bons gras sont les oméga-3 et 9. Anti-inflammatoires, protecteurs cardiaques, bons pour le cerveau et antidéprime, ils sont aussi facilement brûlés par l’organisme.

Les mauvais gras sont les oméga-6 et les acides gras saturés: ils font l’inverse en quelque sorte.

L’organisme a besoin de toutes ces graisses en respectant un équi­libre.
Or nous consommons jusqu’à vingt fois trop de gras saturés (viandes et charcuteries grasses, produits laitiers) et d’oméga-6 (huile de tournesol, maïs), et pas assez d’oméga-3 (noix, huile de lin, saumon) et 9 (noisette, huile d’olive, avocat).
Enfin, les acides gras trans – ou «matière grasse partiellement hydrogénée», sur les étiquettes – provoqueraient accidents cardiaques.

Vous les trouver dans les produits industriels bas de gamme: biscuits, viennoiseries, chocolats fourrés, plats cuisinés, etc.

Le gras peut-il aider à maigrir ?

Tous les gras apportent 9 calories par gramme (contre 4 calories pour 1 gramme de sucre ou de protéine).
Cependant ils ne doivent pas être consommés à volonté.
Il ne s’agit pas de manger plus gras, mais de s’orienter vers les bons gras, plus faciles à brûler et qui aident à se sentir rassasié. En outre, le corps s’habitue à utiliser le gras comme carburant, à la place des glucides. Bilan: on brûle plus de graisses au quotidien. Davantage de bons gras, c’est aussi moins de cholestérol, de triglycérides, de diabète , de douleurs inflammatoires, de fatigue…

Enfin, en optant pour des huiles végétales de qualité et des préparations crues ou peu cuites, dites en revoir aux difficultés ­digestives liées aux graisses cuites.

Saviez-vous que le rapport entre les acides gras oméga-3 et oméga-6 est également important car ceux-ci sont en compétition pour servir de «nourriture» aux mêmes enzymes. Un déséquilibre entre ces deux types d’acides gras peut être néfaste lorsque par exemple les oméga-6, consommés en excès, empêchent les oméga-3 d’exercer leur effet bénéfique au niveau cardiovasculaire….

N’hésitez pas à venir nous en parler.

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