La dépression estivale, un dérivé du trouble affectif saisonnier, a fait l’objet de plusieurs études dans les dernières années.

Bien qu’elle soit plus rare que la dépression saisonnière d’hiver, la dépression estivale s’explique entre autres par un dérèglement de notre horaire habituel, un état léthargique causé par la chaleur, et une difficulté à dormir en raison d’une surexposition au soleil.

« Bien que je sois en mesure de reconnaître la véracité des symptômes, mon petit doigt me dit que c’est entre autres parce que j’ai vécu les périodes les plus difficiles de ma vie à l’été que c’est une saison parfois douloureuse ». Voilà ce que peut nous raconter une cliente de passage.

А l’inverse de la dépression saisonnière hivernale, qui toucherait en moyenne 5% de la population et se traduit par une certaine léthargie, une moindre vitalité et une envie de se réfugier dans le sommeil et la nourriture.
En cause, la luminosité: pas un manque, mais un surplus. L’ensoleillement vient modifier la production de mélatonine, bousculer le rythme circadien des plus sensibles et jouer sur le sommeil –sans compter que la chaleur peut aussi rendre l’endormissement plus difficile…

Parlez-en lors de votre visite