Le bronzage, qu’est-ce que c’est ?

Le bronzage, c’est une réaction de protection de la peau.

Les UV, de leur vrai nom « rayonnements ultraviolets » sont l’équivalent de notre kryptonite à nous : ils sont très puissants, même si invisibles à l’œil nu. Pour résumer : bronzer ok, mais dans la limite du raisonnable.

L’idée ultime ; faire durer le bronzage jusqu’à l’automne.

Quand le bronzage s’éteint, il devient jaune et terne car les protéines de la peau s’oxydent. L’idée n’est pas de mettre plus de poudre bronzante, mais d’appliquer un primer mauve à effet réflecteur.

Le bronzage est sublime quand on lui offre de la lumière et de l’hydratation. Et qu’on évite les textures trop mates. On préfère les poudres de soleil en gel, lotion ou crème et les formules enrichies en actifs hydratants et en pigments réflecteurs.

Même sur une peau bronzer il faut exfolier ( en douceur )

Commencez par une exfoliation pour éliminer les cellules mortes, poursuivez avec des soins à la vitamine C stabilisée pour estomper les tâches brunes et illuminuer le teint.

Après s’être protégée des UV, la peau s’est épaissie et les cellules mortes opacifient le teint. La solution : appliquer une lotion exfoliante douce le soir ou utiliser un gommage à grain deux fois par semaine. Cela rendra la couleur plus lumineuse et uniforme.

Les compléments alimentaires sont des alliés pour garder une peau dorée. On peut continuer à prendre des gélules bronzantes et antioxydantes, mais l’idéal est un cocktail dosé en précurseurs de collagène, acide hyaluronique, resvératrol… pour redensifier avec éclat.

Comment éviter la peau qui pèle ?

Le secret du bronzage qui dure, c’est une peau qui boit assez, à savoir régulièrement – le plus souvent possible – dès que vous y pensez. On applique de la crème hydratante 2 fois par jour pour éviter qu’elle ne desquame.

Pour éviter cela, on utilise des crèmes huiles, laits ou beurres les plus hydratants possible. Le tout étant d’apporter assez d’éléments nourrissants à la peau en évitant des produits issus de la pétrochimie. On oublie la graisse à traire immédiatement et on fait place au Monoï de Tahiti.