Trop fins, trop mous, pas assez blonds, pas assez brillants… Combien de fois avons-nous cédé à la colère, au découragement, au dépit ou au dégoût face à notre miroir ? Que faire de ces attributs censés sublimer la féminité ? Car si la formule, un brin désuète, selon laquelle ils seraient « la parure de la femme » prête à sourire, il n’empêche que la croyance est profondément ancrée dans les esprits. Le point sur votre chevelure avec votre Pharmacie DailyPharma à Paris.

La plupart des femmes sont très critiques avec leur chevelure, elles n’en sont pas satisfaites. Elles veulent des “plus” : plus de brillance, plus de soyeux, plus de matière, mais elles veulent aussi ce qu’elles n’ont pas. 

Si les psychanalystes remarquent que, à un moment de l’analyse, toutes les femmes évoquent, longuement ou brièvement, la façon dont leur mère touchait leurs cheveux, ce n’est évidemment pas un hasard.  Cet attribut de la féminité est investi de manière particulière par la mère, et donc ensuite par la fille. 

Néglige-t-elle les cheveux de sa fille, les tire-t-elle pour les discipliner en chignon ou en queue-de-cheval, les lui fait-elle porter longs et lâchés, les lui coiffe-t-elle avec douceur ou brutalité ?

Ces désirs et ces gestes maternels participent à la construction de l’identité sexuée de la petite fille. 

C’est ainsi que, plus tard, des cheveux mal aimés ou, au contraire, bichonnés font revivre une partie de ce lien complexe. Les anciens plaisirs sont réactivés, les anciennes douleurs combattues ou reproduites. 

Les cheveux constituent aussi, ne l’oublions pas, un caractère sexuel secondaire. Ils évoquent la part animale de la sexualité, qui nous rappelle que nous sommes aussi des mammifères, programmés pour nous reproduire. Plus la chevelure est saine, opulente, brillante, plus elle attire la convoitise mâle. 

 Exhiber sa crinière ou, au contraire, essayer de la dompter en la contrôlant en dit long sur notre rapport à la séduction et à la sexualité. Quant à désirer les cheveux d’une autre, blonds, bruns, frisés ou raides, c’est vouloir s’approprier le pouvoir sexuel que l’on prête à cette personne ou à cette image. 

Si les cheveux sont un motif d’insatisfaction, c’est parce que l’on projette sur eux tous nos fantasmes identitaires. 

Les transformations rapides et visibles dont ils peuvent faire l’objet nous donnent l’impression que nous pouvons devenir une autre de manière presque magique. 

En une coupe et une coloration, on peut changer d’image, donc d’identité. On peut mettre en valeur une facette de soi restée dans l’ombre, se dégager symboliquement d’une filiation douloureuse, oser davantage de féminité.

Si les motivations sont multiples, dans tous les cas, l’insatisfaction est un moteur qui pousse à réduire l’écart entre la perception que l’on a de soi et l’image que l’on renvoie. 

La réconciliation avec ses cheveux ne passe pas toujours par les extrêmes, c’est même souvent le contraire.

De plus en plus, l’insatisfaction se traduit par un désir de mieux se connaître pour mieux s’accepter. Les couleurs tranchées ne font plus envie, les femmes désirent embellir leurs cheveux, sublimer le naturel, elles les veulent plus brillants, plus sains, plus toniques. C’est un cercle vertueux, un cheveu soigné est plus beau, et on prend davantage de plaisir à s’en occuper…

Pour cela les compléments alimentaires disponibles dans notre pharmacie. 

Chute de cheveux saisonnière, cheveux ternes et cassants… Pour rendre nos cheveux plus forts, plus brillants, plus beaux, on peut s’aider de compléments alimentaires.

Pour embellir sa chevelure, la rendre plus souple et brillante, nous plébiscitons la levure de bière, riche en vitamine B. Elle agit d’abord sur les ongles, eux-aussi composés de kératine.

On peut aussi associer cet actif avec des plantes bienfaitrices pour les cheveux, comme la roquette (qui agit sur la synthèse de la kératine) ou la prêle, riche en silice, que l’on retrouve dans le cuticule du cheveu et qui est responsable de la souplesse et de la brillance….