Bouffée de chaleur, prise de poids, ostéoporose, sautes d’humeur… la ménopause sonne bien souvent comme un cataclysme dans la vie des femmes. Ce tournant hormonal qui marque un point final à la fécondité et aux menstruations est souvent accueilli dans la crainte.

Mettre calcium et vitamines au coeur de ses menus

La ménopause laisse aussi un beau champ de bataille intérieur. Elle se traduit notamment par une décalcification des os. Selon plusieurs études, entre 40 et 70 ans, les femmes perdraient en moyenne 40 % de leur masse osseuse.
Cet appauvrissement du squelette porte un nom : l’ostéoporose. Un phénomène surtout provoqué par l’éclipse totale des oestrogènes.

Les aliments riches en calcium font le combustible des os. Produits laitiers (végétaux ou non), mais aussi cresson, épinard et autres légumes verts en contiennent en masse.

Pour éviter que les petites chutes ne se soldent par des fractures, il convient également d’incorporer la vitamine D dans son menu.

Le magnésium, oligoélément multi-vertueux, lui, permet de transporter et fixer le calcium sur les os. Il réside dans le chocolat noir, les légumineuses ou encore les céréales complètes. Bien vivre sa ménopause s’interprète donc aussi dans le coup de fourchette.

Utiliser des huiles essentielles aux pouvoirs ciblés

Douleurs articulaires, moral en berne, bouffée de chaleur, insomnie… la ménopause lance un pavé dans le bien-être et perturbe la tranquillité générale.
La nature est une pharmacie à ciel ouvert, alors autant en profiter.

Certaines huiles essentielles sont d’ailleurs d’excellent rempart aux aléas de la ménopause. Par exemple, l’huile essentielle de sauge sclarée agit sur tous les fronts, des suées nocturnes à la circulation sanguine en passant par le stress. Cette plante plurielle est surtout réputée pour arbitrer la production d’hormones féminines, en pleine effervescence pendant la ménopause.

S’adonner à la pratique du yoga hormonal

Abandonner certaines mauvaises habitudes

Aux confluences de la ménopause, plusieurs soucis de santé se croisent. La chute brutale des œstrogènes nourrit par exemple le taux de mauvais cholestérol. Ce qui accentue les risques de problèmes cardiaques. D’où l’intérêt de faire des prises de sang régulières pour surveiller les courbes.

L’alimentation réfléchie est le point névralgique d’une ménopause sereine.
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